Concours UR13 – Auteurs : Odette Gardiner est 2ème !

Félicitations à Odette Gardiner, brillante 2ème du concours Auteurs de l’Union Régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur-Corse de la Fédération Photographique de France, avec sa série “Dunes”.
Notons que parmi les 46 participants, 3 autres auteurs Phocal terminent à la 4ème place ex-aequo : Didier Coccolo, Michel Attard et Christian Coulon. Bravo à eux !

Dunes – Odette Gardiner :

3ème prix au Concours du Parc National de la Sainte-Baume

Bravo à Gilles Monaco qui a remporté le 3ème prix au Concours organisé par le Parc National de la Sainte-Baume, avec sa photo intitulée “La dame blanche”, pour le thème “Territoires au féminin”.

Il a également participé au Concours national organisé par le Club Photo “Objectif 24” de la MJC de Salon de Provence pour le thème N&B “De l’autre côté” avec les 2 photos “Hello !” et “Ce passage”.

Désert – Christian Dandreis

De DJANET à TAMANRASSET,SAHARA sud algérien

Le désert est si vaste et si varié que chacun évoque ses propres raisons de le percevoir.

Avec le père de FOUCAULT, FROMENTIN et bien d’autres, ce sont les curiosités mystiques, scientifiques, philosophiques ou artistiques qui trouvent réponses au désert.

Jeux de lumière – Christian Coulon

Dans une friche laissée en déshérence, vestige d’un passé industriel révolu…..

Le ballet changeant de la lumière et des ombres permet l’émergence d’un monde fantasmagorique riche en contrastes, où des figures fantomatiques tapies dans l‘ombre et suscitant l’affabulation, voisinent avec des plages inondées par la lumière qui révèle la richesse de la matière…..

Un monde en métamorphose permanente selon l’heure de la journée, où l’écriture photographique peut s’exprimer.

site web de l’auteur : www.christiancoulon.com

l’Humain et l’urbain – Marie-Christine brabant

Trouver son inspiration dans la nature, les paysages ou l’activité humaine et construire des séries avec un regard personnel.

Découvrir et révéler la beauté improbable de certains lieux.

Aller encore plus loin : s’abstraire du réel, construire un monde imaginaire avec une démarche esthétisante qui rejoint l’expression du peintre.

Recentrer sur l’essentiel de la scène, lui donner une dimension onirique mais en introduisant des effets toujours très simples basés sur la modification des couleurs du sujet ou de son environnement.



Vautours les mal aimés – Jean-Pierre Creissen

Dans l’imaginaire le vautour évoque la mort car c’est un oiseau nécrophage. Il joue pourtant un rôle essentiel dans la nature en faisant disparaître les animaux morts pouvant être vecteur de maladie ou responsable de pollution des eaux. C’est un élément clé dans l’équilibre des écosystèmes.

Presque disparu entre 1920 et 1950 il a été réintroduit à partir de 1981 tout d’abord dans les Causses à l’initiative notamment de la LPO.

Des aires de nourrissages ont été aménagées dans plusieurs régions.

Photos prises lors de nombreuses et acrobatiques sorties étalées sur une période de 4 ans.

Faire connaître et aimer ces oiseaux est un premier pas vers leur préservation.

Hérons – Jean-Pierre Creissen

Cette série est le fruit de trois années de travail essentiellement en Camargue où je me suis intéressé à la vie des hérons cendrés : de la recherche de nourriture à la reproduction réussie, aux soins prodigués aux jeunes oisillons, jusqu’à leur départ du nid. Démarche naturaliste mais aussi esthétisante pour sensibiliser le spectateur à la préservation des espaces naturels.

Façades Jean-Pierre Creissen

En se promenant dans les rues de Marseille, on peut découvrir, faisant partie d’un ensemble ou coincées entre deux immeubles d’architecture moderne, parfois isolées dans des espaces pavillonnaires, de remarquables façades avec des encadrements de portes et de fenêtres, des sculptures, des statues, des balcons, des vitraux, bref des décors originaux d’une grande diversité, riches témoins du passé de l’habitat à Marseille.

En levant les yeux, on découvre  bois, pierre, fer forgé, verre, brique, détails de charpente, portes, volets et balcons… réalisations d’une richesse esthétique et artistique difficilement reproductibles à une époque de standardisation et de moindre coût.

Marne – Jean-Yves Briend

La Marne, département quelque peu méprisé par les touristes qui lui préfèrent des rives plus ensoleillées ou des reliefs plus marqués. Dans un pré ceint de bois, où l’horizon se fait accessible, le paysage nous renvoie à l’intime.

Série réalisée au moyen format argentique avec de vieux films, négatifs ou diapos, pour éclairage naturel ou tungstene. Contrepoint d’une exploration de la grande plaine agro-industrielle du même département et faite à la chambre grand format. 

Hiver – Jean-Yves Briend

L’hiver, dans le nord de la France, la nature semble se figer. L’on se promène alors libre de toute contrainte. La solitude comme récompense.

Cette série, réalisée avec un moyen format argentique, a donné lieu à des tirages assez particuliers, où le ferricyanure et le selenium se mélangent pour donner aux images un aspect sombre et saumatre, tentative désespérée pour décourager l’envahissement de ces zones encore vierges de bêtise. 

Appel du large – Jean-Yves Briend

La côte atlantique entre Saint-Nazaire et le pays Basque est presque entièrement plate, alternant marais et plages. En été, les vacanciers s’y pressent. Désolés par la vacuité de l’activité cotière, nous voila ressentant l’appel du large. Nous voila poussés vers d’autres vides, encore plus grands. La progression de la série est toute entière guidée par cet attrait pour le rien.

Ces photographies ont été réalisées sur l’île de Noirmoutier ces dernières années en utilisant un appareil moyen format 6×6 et des pellicules noir et blanc de récupération, parfois en mauvais état. Le travail sur les fichiers scannés permet d’obtenir des images tirables, gardant cependant la trace d’un processus parfois aléatoire.

menu